Mais certains rouges (peu de sécheresse, concentration « correcte ») ont une réactivité plutôt bonne à l’O2 sur des débits plus élevés. Le travail paye vraiment sur ces vins, sur lesquels on constate, parfois après quelques jours, une montée de volume en bouche et une ouverture du fruit (baisse du végétal).
Dans tous les cas on recommande, cette année particulièrement, de maintenir un suivi très étroit de la fermentation malolactique, et de garder une attention de tous les instants sur la microbiologie.
Avec la disponibilité de la mesure par Cytométrie – CytoBrett, il devient plus facile de trier entre les cuves à travailler à l’O2 ou de valider l’absence de risque sur celles qu’on juge prioritaires.
Source : extrait du Tendances Millésime Hérault du 7 octobre 2022